Maltese

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mercredi 3 février 2010

Exposition personnelle

Exposition Galerie Michel Estades - Paris.
La Galerie Michel Estades à Paris (17 place des Vosges, 75004 )expose les oeuvres de Jean Pierre Maltese jusqu'au 20 mars 2010.

mardi 2 février 2010

Jean Pierre Maltese

Jean-Pierre MALTESE est né à Bizerte (Tunisie) en 1958. Il dessine et peint dès son adolescence, suit les cours des écoles des beaux-Arts de Toulon et de la Seyne. Il côtoie les peintres de l’école toulonnaise, et les conseils de Jacques Bartoli vont l’aider.Pour lui, « un tableau se lit comme un livre , à chacun son degré de lecture. Un tableau raconte une histoire quel que soit son abstraction : histoire de son rapport avec les autres objets, avec le spectateur, et sa propre histoire particulière entre les éléments le constituant : forme, couleur, matière, frontière…. »Mais ce que Jean-Pierre MALTESE souhaite, c’est que l’émotion soit la première lecture de ses tableaux, l’émotion ressentie devant un sujet et rendue sur un bout de toile blanche.« Jean-Pierre MALTESE est un amoureux de la Provence, passionné depuis toujours par les arts plastiques. Maîtrisant l’art de la céramique et de la sculpture, il s’est également perfectionné dans la peinture et récemment dans la technique de la gravure. Découvert en 1999 par le galeriste Michel ESTADES, ses œuvres se sont imposées dans une production abondante. En effet, les nombreuses expositions ça et là, les multiples affiches qui ornent les vitrines, les fréquents vernissages chaque semaine et toute l’année, les comptes- rendus d’expositions régulièrement publiés dans la presse locale, témoignent de la belle vitalité des peintres qui aiment travailler sous le soleil du Midi. Mais parmi eux, il y a-t-il autant d’artistes que cela ? Et, quelle est la raison du succès de Jean-Pierre MALTESE, ce peintre discret mais toujours prêt à partager son expérience, son savoir et ses réflexions sur l’art ?(…)La réception d’une œuvre de MALTESE s’effectue dans la durée. Elle n’est jamais immédiate mais exige une fréquentation animée d’une volonté de comprendre la démarche de l’artiste. Il s’agit d’un dialogue : à mesure que l’œil accumule les détails, le spectateur fait le chemin qui mène vers un point inaccessible. Par une utilisation habile des couleurs, le peintre conduit le spectateur au-delà de l’image. C’est ce parcours inachevé, toujours à refaire et à redécouvrir qui procure le plaisir (…) »Jean PERREAU